


Un petit vent soufflait comme une caresse prometteuse.
Seul dans ma maison j'ai organisé ma folle transformation,
J'ai mis mes bas noirs brillants que j'ai agrafé à un porte jarretelles en vinyl, une jolie culotte aussi brillante que douce, puis j'ai mis le petit soutien gorge assorti dans lequel j'ai placé mes petis seins en silicone.
J'ai choisi mes sandales à bride avec talon de 9 cm.
J'ai serré mon petit corset à en perdre haleine, petit à petit pour arriver à ce que les deux bords se touchent parfaitement dans mon dos.
J'ai enfilé la petite robe bleue imprimée.
Ma belle compagne ne la met plus... alors j'en profite.
J'ai serré une large ceiture à la taille.
J'ai mis un fin masque de latex pour cacher mes traits trop masculins à mon goût.
J'ai serré un foulard en mousseline autour de mon cou, et j'ai fini en ajustant la folle perruque argentée sur ma tête agitée de mille idées...
J'ai marché dans la maison pour me détendre et prendre mes aises dans mon apparence de la nuit à venir.
Et je suis partie dans ma petite auto dans la forêt.
La nuit vient tard en mai, aussi ai-je marché sur mes chemins dans une relative clarté.
Je marchai en faisant chalouper mon cul, en reculant la tentation de me carresser l'entrejambe.
Respirant fort malgré ma taille prise en étau, adorant le vent soulevant ma robe et carressant mes jambes et mes épaules.
Passant mes mes mains gantées à plat sur mes hanches en faisant crisser les tissus.
Enivrant et affolant, je humai l'air au bord de l'ivresse...
Tout à coup surgissant de la pénombre, plein phares un 4x4 sombre.
Pile à deux mètres de moi.
Je suis saisi d'éffroi dans la lumière comme un pauvre lapin sur une départementale.
De l'habitacle surgit un mec hirsute de 2,30 mètres de haut en kaki camouflage.
J'essaye de fuir.
Une main de fer me saisit le bras et le retourne dans mon dos.
« Tu vas morfler, salope » me souffle l'ours.
Il balaye mes jambes d'un coup de godasse, je tombe à genoux sur l'herbe et la mousse.
Il me pousse , je tombe à plat ventre, les bras en croix .
Il s'assoit à califourchon sur une de mes jambes, tandis qu'il écarte l'autre.
Il soulève ma robe et arrache ma culotte
Il souffle comme un b½uf.
Il attrape ma main droite et la met sur sa braguette,
« Alleeeeeez !!! » crie-t-il.
Le machin bondit hors de sa cachette comme un diable de sa boite.
Il a craché sur la fente de mon cul, vérifie avec un doigt si le passage glisse assez, et d'un coup sec, rapide et sur m'enfonce son manche de pioche.
Je sursaute et pousse un cri devant l'assaut mâle et dur.
Je le sens profond en moi.
Je devrai me débattre, me battre, lui filer des coups...
Mais avec une tonne de muscles qui me colle au sol, rien à faire...
Si ce n'est... déguster.
Que dis-je... peut être aimer et apprécier !
Le bonhomme prend son temps.
Il a immobilisé mes bras dans le dos en les nouant avec ma culotte détruite et il s'occupe d'entrer et sortir, tranquillement.
A chaque passage de son gland gonflé il m'arrache un cri de jouissance.
Cette ordure sait y faire.
Je jouis, je gémis, j'en gigote, je me débats pour me libérer tellement j'ai le feu en moi et à ma fente anale, qui me brule et me fait trembler et suffoquer..
Le monstre continue son va et vient.
Caresse mes jambes, mes épaules, peut être un semblant de tendresse chez la bête ?
Puis il pousse un cri rauque de lion en rogne.
Il se raidit et je sens son foutre gicler dans mon fondement.
Tellement fort que je crois que je vais le recracher par la bouche.
Je suis complètement groggy.
Il reste un moment à aller et à venir.
Puis se lève brusquement, dégage mes mains de la culotte enroulée, s'éssuie la bite avec et me la jette au visage.
« Tiens, gardes ça en souvenir... »
Mon téléphone vibre à ce moment.
Il s'en saisit, en avise l'écran... m'attrape par le bras, me jette sur une souche.
Prend une photo.
Me jette à nouveau dans l'herbe et reprend des photos.
Je suis épuisée, tétanisée, sidérée, je gis au sol.
Il dépose le téléphone au sol devant moi et rigole !
« Tiens , ça te feras un joli souvenir, puisqu'on peut pas avoir de mômes ! » Il s'esclaffe, ravi de son humour à la con.
« Ah ,oui ! je passe là, tout les vendredis à la même heure,,,si ça te dit ! »
Tourne les talons, remonte dans sa caisse et démarre en trombe.
Je reste un long moment, couchée sur la mousse tendre, à me carresser pour prolonger cet étrange moment.
J'ai le cul qui dégouline.
Je vais prendre un godemichet dans la voiture.
Je prend le plus gros, celui que j'ai fabriqué avec un élément de lustre.
Il rentre en chuintant.
Je retourne m'allonger sur la mousse.
Je me branle avec la douce culotte encore mouillée et moi aussi je la mouille dans un cri fou de plaisir et de délire.
La nuit est tombée.
Je me suis endormie un long moment.
Je me réveille, étourdie, comme saoule.
Je desserre mon corset et m'endors comme un bébé sur la banquette arrière.